NordKapp … Les CR

[diplomate83]

Tout a déjà ete dit mais je vai tout de même.le répéter, merci merci et encore merci de nous avoir partagé votre aventure.

[Ricou57]

Encore un grand merci à vous les pour tous ces grands moments de partage qui manqueront devant notre café…
Encore un morceau de route pour deux d’entre vous pour retrouver vos familles, alors ride safe pour Antoine et Jean-Fi, je pense que Karim veillera étroitement sur vous pour votre arrivée à bon port !

[SMILYTY]

On the Road depuis 8.00

Je vais aller dans les lavandes un petit peu…




Envoyé de mon iPhone en utilisant Tapatalk

[SMILYTY]

NordKapp J36
Savigny (CH) Toulon (F) …. 570 km
46°55N - 43°12N

Le levé est difficile ce matin. Il est 6.45 et je file sous ma douche.

Les mines sont fatiguées, tristes et heureuses en même temps..
L’ambiance est plutôt bizarre.

J’avale un yaourth avec quelques céréales et je boucle mes affaires.
Je suis le premier à partir, JeanFi doit rejoindre un ami en Suisse en fin de matinée et il rentrera à Toulouse sur deux jours, ce WeekEnd.
Pour ma part, j’ai décidé de jouer la carte de la sécurité. Je m’explique :
- La météo annoncée pour samedi est humide, je n’ai pas envie de rouler sous la pluie
- ce weekend il devrait y avoir beaucoup de monde sur les routes car c’est le début des vacances…
- Je suis du matin et je nais pas envie de rouler jusqu’à 18 ou 20h
Donc décision validée, je décolle à 8.00 au plus tard.
Et enfin, je n’aime pas les séparations alors il vaut mieux couper court immédiatement.

Donc, à 7.45, je suis prêt, nous nous retrouvons autour de ma moto avec les 2 mousquetaires restant, et nous nous embrassons chaleureusement.
À 8.00, je passe le portail de Karim et Vroummm

J’ai Autobeurké de Lausanne à Grenoble dans des conditions idéales.
Bonne météo (23/27°), pas trop de monde côté Suisse, 3 bons lièvres côté Français et à 10.15 je faisais ma première pause juste avant Grenoble.

Après, la nationale pour passer le col de Lus La Crois Haute, je suis parti à la découverte d’un petit col (Faye) autour de Serres, juste un aller retour, puis j’ai rejoins Oraison.
Là, j’ai pris la D15 pour monter sur le plateau de Valensole, par La Guérine où je me suis permis 1/2 heure de piste au milieu des Lavandes.
Encore un moment au top. Mais seul…

Après, classique, Ginaservis, Vinon, Rians.
En arrivant à Rians, il est 14h, j’ai une vison surprenante !
(En Belgique, on a pas pus manger des bonnes frites belges, celle qu’on a goûté était très classiques)
J’ai vu une affiche qui m’a interpellé !
Friterie Belge !
Demi tour, parking, commande, discussion avec le taulier du FoodTruck, dégustation. Je me suis régalé !!
(À l’ombre d’un arbre, par 36°…)

Et en plus (même si je n’en ai pas pris) il proposait la cuvée des Trolls !!!!
Finalement, était ce bien nécessaire de monter jusque là haut ??? Alors que l’on trouve tout ici !!!!

OUI OUI

Retour maison par la vallée du Gapeau, après un petit stop au DS de Toulon pour leur faire une MultiBise…
C’était bien cool . Merci à eux pour leur accueil chaleureux .

Puis, le second Grall de ce voyage, le retour du cheval et du jockey à l’écurie, le retour au stand, tu diras comme tu veux : LE RETOUR
Il est 16h. J’arrive devant la maison, le portail est grand ouvert, ma ValCherie et Tom, mon fils adoré me font un accueil digne du retour de l’enfant prodigue (ou du papa voyageur).
Embrassades, Bisoux et tendres câlins avec un motard trempé de sueur !
Il fait 32°.

Rituel du soir (mais plus complet)
Déchargement de la moto, vidage du sac, mise en route des machines….
Oui, plus de lessive à la main désormais !!

À peine 1h15 après mon arrivée, il faut que je gère une urgence du boulot qui me tombe dessus…
La reconnexion avec le boulot a été immédiate …

Voilà, ce magnifique voyage est terminée pour 2 des 3 MultiMousquetaires.
JeanFi, qui pendant ces 38 jours (il rentrera dimanche si tu suis bien…) aura déserté tous les médias, Forum, Réseaux sociaux, GP, Rugby, ne devrait pas tarder à clore cette aventure.

Aventure motarde
Aventure humaine
Aventure géographique
Aventure tout court.

Quand celle ci sera close, nous parlerons de la prochaine…

Merci Karim pour ce que tu es.
Merci JeanFI pour ce que tu es.
Merci à tous les trois pour ce que nous avons enduré ensemble (dans absolument tous les sens du terme) .
Merci.

Enfin, c’était un vrai bonheur pour moi de partager ce journal quotidien avec vous tous, merci pour vos encouragements et vos réactions par ici, en live, par messages.
Cela donne un vrai sens à ces CR….
(Et merci de votre indulgence quand aux nombreuses phautes d’aurtograffes qui se sont malencontreusement glissées dans certaines phrases)

Bon, vivement que les vidéos de ce voyage (ainsi que celles de la péninsule Ibérique) soient disponibles à la vente …. (Oups. Mon côté Norvégien a pris le dessus).
Pardon, je voulais dire : soient disponible tout court.

The End.
Jusqu’a la prochaine !!



Ne







Envoyé de mon iPhone en utilisant Tapatalk

[diplomate83]

Bon retour à la maison.

[Ricou57]

[lolo30]

Quelle aventure ! J’ai pas vu le temps passer …
J’ai adoré vos CR. Respect pour les multimousquetaires [emoji[emoji[emoji6]]]


Envoyé de mon iPhone en utilisant Tapatalk Pro

[MetalRouge83]

Coucou Antoine …..alors que dire après 48h de « black-out » du Fofo pour moi du à une « catabistouille de ….dur-materiel ( comprendre Hardware, hein )

Comme ça remarche, j’ai rattrapé la lecture des deux derniers CR et j’en conclus, encore avec ce petit mot, trop petit : MERCI ….à vous trois et à toi pour ces magnifiques CR riches en détails, photos, émotions….partagées qui ont eu le mérite de me faire rêver, de pouvoir commencer mes journées de taf avec la banane.

Ça fait du bien et ces valeurs exprimées, démontrées, relatées, n..ont pas de prix

Un grand bravo et merci pour cette aventure si bien partagée

[SMILYTY]

NordKapp J37
Toulon (F) …. 3 km

Vive la France !!!
Ou bulletin d’humeur sur l’incivilité des Français…

Une bonne nuit réparatrice de 11 h d’affilé, ce qui ne m’arrive que très rarement… ça fait un bien fou !
Petit passage chez le DS de Toulon pour récupérer mon T-shirt du D.O.C (merci aux organisateurs toujours au top) et retour à la maison en prenant Tom au sport, au passage.
Petit restau Italien à midi, on peut dire que la qualité de la « bouffe » chez nous est quand même quelques crans au dessus de ce que l’on a vécu pendant 5 semaines…
Une sieste salvatrice et je décide d’aller laver ma moto.
C’est là que mon triste constat commence …

La station de lavage est à 500m à vol d’oiseau de la maison, 1,5 km par la route. (Oui, il faut aller chercher un petit tunnel pour passer la voie ferrée)
- un automobiliste a failli me couper la route en grillant un stop. Juste un petit signe de la main pour s’excuser… (il faudra qu’il fasse le même quand il aura renversé un motard…)
- Je me présente sous le pont (le petit tunnel pour passer la voie ferrée) la grosse Mercedes devant moi grille le feu rouge, elle passe comme si c’était un cédez le passage), moi, je me positionne et le feu passe quasiment immédiatement au vert.
- J’arrive à la station de lavage et je retrouve la Mercos, une femme refaite, en blouse bleu d’infirmière en descend et elle se rapproche de la machine à sous pour acheter son lavage au rouleau. Je gare ma machine dans le box voisin, pour utilisation de la HP, et je ne peux m’empêcher de l’aborder très poliment (j’ai pris sur moi) en lui disant : « bonjour madame, vous faites partie du personnel de santé? ». Elle acquiesce de la tête, je continue : « et cela vous confère t il le droit de griller les feux? ». En réponse, elle commence à me demander de quoi je me mêle, et à proliférer des insultes et noms d’oiseaux à mon égard! Je pivote sur mes talons et je pars m’occuper de ma machine qui a plus besoin de moi que cette Connasse (et je pèse mes mots)
- La piste de lavage est dégeulasse, jonchée de mégots, de résidus de plastiques, et même d’une antenne de radio qui traîne. Je ne peux pas m’empêcher de ramasser les plus gros déchets et de les mettre à la poubelle qui est à 2 m de la piste.
- Pendant que je lave ma moto, un type arrive avec son gros 4x4, se gare en attente devant la piste. Il descends de sa voiture, traverse l’espace que j’occupe (je suis en train de frotter ma machine) et tranquillement, va pisser dans les herbes qui sont là, à 2 mètres de moi, à côté de la poubelle. Non mais quoi ??? Je ne relève pas.
- Après s’être soulagé, il retraverse « ma piste » en remontant sa braguette, et, avec encore les mains entre les jambes, il me dit sur un ton très désagréable : « dépêchez vous, je dois laver ma voiture et je n’ai pas beaucoup de temps » Non mais quoi encore ??? Je lui répond avec le ton froid que je sais bien prendre quand il le faut, qu’il aille ailleurs si il est pressé, pour l’instant c’est moi qui occupe l’espace et là, je n’ai pas encore terminé ! Je ne me presserais pas, et au bout de 6 ou 7 minutes, il est parti en trombe, en faisant crisser les pneus de sa voiture… tant pis pour lui et tant pi pour ses pneus… heureusement qu’il n’y avait pas un gosse sur sa trajectoire !

Une fois ma moto propre, je lui passe un coup de microfibre pour sécher les parties accessibles et je m’en vais.

- A la sortie de la station de lavage, il y a un stop et un panneau indiquant qu’il est interdit de tourner à gauche. (Peu de visibilité, une route rapide passe là, et il y a déjà eu de nombreux accident à cet endroit dont un motard tué l’an passé). Les deux voitures devant moi grillent le stop et tournent à gauche !! Non mais quoi encore ???

Je m’arrête au stop, pose le pied, laisse passer une voiture qui roule à très vive allure, alors que c’est limité à 50, j’embraye et je tourne à droite pour aller faire demi tour au rond point qui est 100m plus bas.

Et enfin, rebelotte…
- pour remonter chez moi, il y a un stop sur le pont de la voie ferrée, pas le tunnel qui est dans un seul sens, le pont qui est dans l’autre sens. Et bien les deux voitures devant moi le grillent sans même ralentir ou marquer un petit arrêt glissé…. non mais quoi encore ????

Je suis outré, désespéré, triste, énervé, et très inquiet pour l’avenir de notre pays…
C’est effarent!!
Je viens de passer 5 semaines dans des pays où les gens se respectent, pensent à leur prochain, respectent les installations publiques, respectent la nature, font simplement preuve d’une grande civilité ! Rien de plus normal quand on a un peu d’éducation et de savoir vivre…
(Même si, je l’admet, tout n’est pas parfait chez eux)

Voilà. Je termine mes récits avec ce constat bien amère. Il ne faudra pas s’étonner des résultats de nos élections dans les jours prochains…

Et pour nos mousquetaires,
- Karim a repris le boulot et a lavé sa moto (oui, je l’ai copié) (mais je suis pardonnable, on a passé 5 semaines à faire strictement les mêmes actions en même temps tous les trois)
- JeanFi a quitté son pote en Suisse et il était en train d’arriver (a 17.40) à Mende, pour sa dernière étape …

Ce post sera définitivement clos quand il sera bien rentré at home.

MultiBises à tous et encore merci pour vos réactions qui me touchent, sincèrement!

Kenavo et à bientôt !





Envoyé de mon iPhone en utilisant Tapatalk

[Poiuzt]

Je profite de tous ces remerciements pour y mêler les miens.

Et justement, une fois mes amis partis, vient le temps des bilans.

Alors le Cap Nord, ça en vaut la peine ?

Ben non.

Non, notamment si vous ne fixez pas vos objectifs clairement.
Nous, ce fut le cas depuis 3 ans.
Quand ce trip fut imaginé - premier remerciement à Antoine pour son partage - notre petite équipe était déterminée à suivre un objectif clair : faire ce trip, oui, mais en prenant le temps de humer la température, de se fracturer les mirettes, d'avaler les paysages et de dévorer les routes, de s'émerveiller dans la nature, de se connecter à une partie du quotidien des autochtones et (parfois) de s'arrêter en touriste pour souffler.
Résultat : si on voulait tout faire, c'était 3 mois.
On a tranché pour 35 jours et si vous avez pu les vivre avec nous, jour après jour et tout ça grâce au talent réel de mon ami - 2ème remerciement à Antoine pour son sens du reportage de guerre et cette facilité à le partager avec les autres -, cette quête du Nord ne fut possible qu'avec le soutien de JeanFi - premier remerciement à JeanFi pour son sens aigu du détail - et c'est pourquoi tous les road books ont été faits aux petits oignons - 2ème remerciement à JeanFi pour son sens de l'ajout - . Ces facteurs nous ont conduits là où on voulait et nous permis d'atteindre les objectifs que nous avions définis.
Déterminés, oui, c'est bien le mot.

Non si vous ne partez pas avec les bonnes personnes.
Nous, on s'est testé avant de partir.
C'est vous dire qu'on a pas laisser trop de choses au hasard.
Rien ne vaut une petite RGA allez-retour, en conditions changeantes.
Cela dévoile les vraies personnes, surtout quand tout part à volo.
Comme évoqué maintes fois, quand l'alchimie prend, rien se sert de lutter, il faut faire avec et savoir trouver son équilibre. Il faut donner à cette escouade ce petit plus qui fait qu'à trois, c'est idéal (et non ce n'est pas un titre). Notre équipe se connaît bien maintenant. On sait qui est qui, qui sait faire quoi et qui ne sait pas. On connaît les travers des uns, on connaît les qualités des autres, on sait respecter le silence quand il le faut. Cela crée une équipe unie, liée, qui est capable d'encaisser ces 35 journées sans faillir même si elles étaient somme toute très routinières, au sens propre comme au sens figuré, mais ô combien riches en partage. Comme on se connaît bien, on sait faire face dans quasi toutes les situations (qui, comme vous le savez, parfois auraient pu mal se finir) et on peut progresser comme planifié, quoiqu'il advienne (en tout cas, on se prépare pour). Comme on connaît les limites, on sait quand l'agacement émerge et parce que le respect est de mise dans tous les cas, nous savons faire fi de nos arguties et nous revenons rapidement à l'essentiel : notre aventure. Ce qui m'amène à un troisième remerciement à Antoine et JeanFI pour leur amitié vraie et celui-là me met la larme à l'oeil.

Non si vous ne partez pas avec les bons équipements.
Nous avons choisi et avons opté pour les mêmes choix, parfois pour des raisons différentes.
Ce qui fait de nous une équipe de testeurs "malgré eux", capable maintenant d'affirmer pas mal de choses concernant la fiabilité de tel ou tel matériel :
- nous avons tous opté pour des Ducati Multistrada V4 Rally, toutes correctement équipées pour affronter les éventualités du voyage. Selon notre expérience, la Rally est sans conteste et de très loin, la machine la plus apte à faire ce que nous avons dû faire : elle fait tout ce qu'on lui demande, parfaitement, tout en ménageant son pilote et en lui donnant le "petit plus" qui lui fait vivre son trip avec une plus grande émotion. Vous savez par où nous sommes passés et comment nous avons traversé toutes ces contrées sans réelle difficulté, que ce soit par la route ou la piste et dans tous les cas avec notre statut de moto itinérante, soit un poids moyen d'environ 420 kg, pilote compris. Cette machine, véritable baroudeuse, bien moins lissante que certaines et bien plus fougueuse que les autres, nous aura montré durant tout ce périple comment on passe d'un univers terreux à un univers bitumeux puis à un nouvel univers terreux, le tout le temps de presser sur un bouton. Expérience réellement très satisfaisante, vous pouvez nous croire et vécue maintes et maintes fois.
Une synthèse ? C'est la plus multi strada des MTS.
Fiable ? Mais tellement !
- Notre sac LoneRider (que ce soit en 30 ou 48 L), un sans-faute et une réelle qualité de fabrication, un must have.
Fiable ? Sans conteste !
- Nos pneus sont dans la même lignée.
La combinaison Pirelli Rally STR à l'avant et Continental TKC 70 à l'arrière, pour l'instant et dans les conditions subies, a démontré avec maestria sa performance et a fait le job sans jamais surprendre. Une monte permanente pour moi désormais (on passera en tétines à chaque fois que nécessaire, cela va sans dire).
Alors fiable ? D'après vous...
- Nos tenues de pluie firent le job, mais on peut en parler.
Fiable ? Oui, mais...
- Nos tenues Ducati firent le job, et même plutôt bien (sauf sous la pluie longue).
Fiable ? Moui.
- Tous les autres équipements furent les bons dans la majeure partie des cas, comme le choix de la platine arrière, les outils embarqués tels le booster ou nos kits anti-crevaison, comme certains de nos gants (pas tous).
Fiables ? Oui, c'est prouvé.
- Nos casques furent une terrible interrogation : mais comment Schubert a pu faire accepter des performances aussi piètres au niveau du bruit (il faut des bouchons, sans aucune hésitation), au niveau de l'étanchéité (oui, l'eau ruisselle à l'intérieur si on le ferme mal et comme la fermeture est mal foutue, on a tendance à penser que c'est fermé, mais cela ne l'est pas) et en communication (le Senna fait le job, mais pas si bien qu'espéré) ? On se pose la question. Fiable ? Oui, mais bon à ce prix, on pouvait s'attendre à mieux
- nos bottes furent une grosse déception. Elle font le job partout, sauf sous la pluie, alors qu'elles nous ont été vendues comme "dry" (la bonne blague). Et ce n'est pas que nous, tous les gens que nous avons rencontrés font le même constat. Fiable ? Mais tellement pas !

Non si vous n'avez pas le bon matériel au bon moment.
Nous, on a réfléchi à la liste du matériel nécessaire, à sa composition et à son plan de changement. Je pense que maintenant nous avons les bonnes bases pour savoir exactement quoi prendre pour affronter telle ou telle condition, selon les limites que nous avons définies, évidemment (oserai-je ajouter). Toutes ces péripéties nous ont permis de savoir de mieux en mieux préparer nos paquetages pour répondre à toutes les contraintes du terrain. Il nous aura fallu plus de 50 jours pour trouver la combinaison la plus efficiente. Savoir partir avec le bon matos et le charger de façon équilibrée tout en restant accessible quand nécessaire, ce n'est pas si facile. Cela demande du temps de préparation et nous avons su le prendre.

Non si vous ne respectez pas les règles.
Nous avons traversé plusieurs pays tels que l'Autriche, l'Allemagne, la Tchéquie, la Pologne, la Lituanie, la Lettonie, l'Estonie, la Finlande, la Norvège, la Suède, le Danemark, la Hollande, la Belgique, le Luxembourg, la France et la Suisse, soit 16 pays au total, parfois plusieurs fois. Tous ont des règles qui se distinguent les unes des autres et peuvent nous mettre dans une belle panade. Nous avons donc intégré dans nos modes opératoires cette contrainte car, dans ces contrées lointaines, aller vite n'est pas synonyme d'aller loin.
Pour autant, quand l'opportunité fait le fada, nous avons su en tirer partie, soyez rassurés..


Non si vous ne savez pas faire avec.
Faire avec la beauté de la nature, faire avec les camping cars, faire avec les jours fériés, faire avec les habitudes locales, faire avec les gens, faire avec les lieux, faire avec les contraintes, faire avec les trucs qui ne marchent pas, faire avec les emmerdes, dans ce genre de périple, tout peut arriver.
Un bon plan permet juste de ne pas être surpris quand survient l'inattendu.
Nous avions toujours des bons plans.

Alors non, faut pas le faire ce trip, sauf si vous avez les conditions pour et là, c'est le paradis.
Qu'il soit artificiel ou pas, dans tous les cas, quand c'est fini, il y a un gros manque.
Mes amis me manquent.

Et ça, vous pouvez le croire.

[SMILYTY]

Aussi.
Grave aussi ….


Envoyé de mon iPhone en utilisant Tapatalk

[diplomate83]

La suite viendra j’en suis persuadé

[scharrach]

Un grand merci à vous pour ce partage de cette tranche de vie qui semble-t-il n’est qu’un prémices à d’autres à venir.
Merci de nous avoir embarqué un peu dans vos valises pour vous suivre.
Je suis impatient de voir les vidéos de vos deux road trip.
Je n’imagine même pas le travail pour faire le montage…


Envoyé de mon iPhone en utilisant Tapatalk